Chansons pop rock en français avec de vrais morceaux de poésie. Une âme dans cette musique qui puisse ses sources dans le folk rock US, la chanson française classieuse façon Sylvain Vanot, Dominique A, Bertrand Betsch, voir Gérard Manset et Alain Bashung. Luc DMK déclame son univers dans des ambiances en demi-teintes tantôt légères, parfois grisâtres. Les textes ironiques, intimistes, invitent à l'évasion dans une galerie de personnages et d'histoires à la fois étranges et banals. Le résultat ne manque ni d'originalité ni d'élégance.
Démantibulés est un album de chansons reliées par des textes mis en musique dont deux poèmes de Charles Baudelaire:Le revenant et L'albatros. La reprise de La nostalgie camarade de Serge Gainsbourg est également un titre clé de cet album concept. Les arrangements, mélange déroutant de sons symphoniques et électroniques, les chansons entrecoupées par du talk over, font de cet opus un album à la fois poétique, cinglant, mais aussi fou, dérisoire, optimiste, bref... démantibulé.
Trois ans après Démantibulés, Odile et Manu reviennent avec un nouvel album concept, French Dream.
Cet album raconte l'histoire d'un homme dans 10 styles musicaux qui ont marqué sa vie. Ce fut ainsi l'occasion pour Odile et Manu de s'essayer sur divers styles musicaux qu'ils n'avaient jamais abordés et ainsi de rendre
hommage aux nombreux artistes qui les ont influencés. En effet, French Dream est une fresque musicale décalée, allant du reggae au métal, en passant par du pop-rock, de la new wave, de l'electro etc...
Le point exact est le premier album de Gilliane Kim. La voix cristalline de Gilliane porte des textes bien pensés et des mélodies qui accrochent. Entre le très beau Quand nous seront des géants, le drôle et remuant L'homme qui a les clés, ou l'hollywoodien Les filles aux corps encore lisses, le violon et les guitares acoustiques tissent une atmosphère chaude et intime à découvrir absolument..
Ludovic Gérald, guitariste chanteur, auteur compositeur, nouvel album 12 titres.
Des textes inspirés par Gainsbourg ou Nougaro, et une musique jazzy à la Michel Jonaz. Ces lillois ont de qui tenir.
Onze titres donnent vie à l'album, union du rock, de l'acoustique, de l'électro et de différentes personnalités. Des ambiances éclectiques pour un univers personnel et original.
On ne sait qui accompagne qui: la voix envoûtante ou le piano nostalgique, tant les deux sont en symbiose.
Depuis 2002, Ben Seultou chante, accompagné de sa guitare et à qui veut bien l'entendre, la condition humaine. Chansons que l'on pourrait qualifier de chansons constatataires, Ben Seultou ne dénonce pas, il remarque.
Romantica, c'est le titre du premier album que sort Angelyn en collaboration avec Gérad Poncet. La chanteuse a écrit les textes et les mélodies ainsi que les parties rythmiques. Le résultat est là: de très belles mélodies, avec ce qu'il faut de rythme, une voix exceptionnelle, et des textes plein d'images et de poésie. (Ouest France)
Une jolie voix pour des textes originaux, une guitare accoustique tout en mélodie, du classique mais avec ce petit truc en plus qui le distingue des autres.
Chansons poétiques et épineuses.
La poésie, la tranquillité, les balades, l'espièglerie, le rêve, le bon sens, la fantaisie, l'humour... Tout ça grouille dans le monde de Cactus in Love.
Cécile aime jouer avec les mots, elle écrit les textes. Une mélodie vient lui rendre visite, la chatouille, alors elle farfouille, tripatouille, la gratouille et la partage avec ses deux acolytes.
Il y a le Docteur Denis Bruneel qui joue du grand violoncelle, c’est un explorateur. Il sait faire grincer son instrument comme une vieille porte, ou le faire chanter comme une baleine.
Il y a aussi l'inspecteur Romuald Cabardos avec sa batterie (pas de cuisine mais presque), il joue de toutes sortes de casseroles, cuillères ou autre machine à écrire. Ça percute, pointille, claque, emballe... Tous les deux "enchantent" Dame Cactus, sa guitare, et cette drôle de machine qui enregistre, passe et repasse des voix, sa voix, la leur, en échos, en harmonie, une ratatouille de mélodies...
Ensemble ils bidouillent, creusent, fouillent, jouant avec les sons, avec les dimensions. Tout près : L’espace autour des instruments acoustiques, la respiration, le souffle… Au loin : Les longues résonances, qui dessinent les limites du perceptible.
Il y a l'Afrique ici, le folk là, ils touillent avec une pincée de rock, une touche de poésie ou encore de jazz. Cactus in Love utilise la scène comme un terrain de jeu, un jardin d'enfants, ça crie, pique, touche-touche, et se calme, ça court, danse et berce... Malicieux, complice et espiègle, ce monstre à trois têtes vous embarque dans un monde piquant, rempli de Carabistouilles .
